Derniers baisers d’adieu A travers une glace. Nos longs regards pluvieux Se sont dissolus dans l’espace. Le train a avancé Traînant l’ombre que j’aime Sur le rebord du quai. Se quittent nos visages blêmes Sans voix s’en vont les rails, M’arrachant les entrailles. Ces rails qui, sûrement, Vont voyager à mes côtés,