Evanescences

Opalescence d’infortune,

Tu es la plainte de la lune

Dans l’intimité de la nuit

Où tes pâleurs perdent leur vie.

 

Ni tes fantômes agonis

Et ni ce ciel qui te maudit

Ne perdent le poids de l’enclume

En ta peau froide d’amertume.

 

Les larmes de tes yeux d’orties

Aux éperons de l’ancolie

Coulent en pierres torrentielles.

 

Triste lumière d’eau de sel,

Tu renonceras au soleil.

 

Je suis venu noircir tes jours.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *